Louise Dény Pierson
15 juillet 1914
Mes souvenirs du début de la guerre se limitent à la lecture des affiches de la mobilisation, à laquelle je n’ai pas compris grand’chose, au départ de mon beau-frère mobilisé à Épernay, au 65ème chasseurs à pied, la tristesse de ma sœur ainée, Émilienne, qui n’a pas pu
le revoir une dernière fois au passage à niveau de la rue Martin-Peller, pendant que je gardais mes deux petites nièces.
Puis la décision de ma sœur d’aller habiter chez nos grands parents à Vrigny, en attendant le retour de son mari …
Ce texte a été publié dans L'Union L'Ardennais, en accord avec la petite fille de Louise Dény Pierson, ainsi que sur une page Facebook dédiée voir : https://www.facebook.com/louisedenypierson/